Que demande le peuple ?

Sur scène spectacles

dignité, utopie, liberté, identité, amour

Cinq histoires musicales chantées

Acteur, chanteur, auteur, danseur et metteur en scène, Michel Aymard développe depuis dix ans le projet “que demande le peuple? / histoires musicales chantées” , un cycle de spectacles musicaux revisitant librement les musiques populaires.

Fruit d’ une rencontre et d’une collaboration étroite entre  Michel et  des musiciennes et musiciens d’horizons très différents : chaque spectacle établit un dialogue musical et scénique : des chansons, des textes, parfois des images projetés, une radio associative où des spectateurs interviennent …

Quel sens a tout cela ? Pour quel public jouons nous ? Quelle relation voulons nous créer avec lui ?
Interpréter des musiques populaires  nous conduit à évoquer les problèmes se posant aux peuples .

Que demande le peuple ? met donc en scène des musiques, des textes, des êtres humains et des problèmes :
– Le combat pour une vie digne STRUGGLE, avec Nicolas Fabre (clavier) et Michel Aymard (chant, jeu).
– L’utopie et l’espoir collectif pour la paix UTOP ROCK, avec Nicolas Fabre (claviers, synthétiseurs, programmation ordinateur) et Michel Aymard (chant, jeu).
– La nécessité vitale de la liberté MONDE LIBRE, avec Juliette Herbet (contrebasse, saxophones, jeu) et Michel Aymard (chant,jeu, danse).
– La construction d’une identité JE SUIS, (distribution en cours).
– Quelle place pour l’amour? AIMER, avec Fernanda Primo (guitare, jeu) et Michel Aymard (chant, jeu, danse).

Cinq spectacles différents. Aux histoires différentes : STRUGGLE, UTOP ROCK et MONDE LIBRE se sont joués dans une première version et entrent actuellement dans une nouvelle phase intégrant de nouveaux éléments de mise en scène. JE SUIS est en cours d’écriture. AIMER entre en répétition à partir d’octobre 2020

Pour chacune de ces créations, nous partons à la découverte de genres musicaux, de langues, de manière de faire de la musique. Folk, blues protestataire des années 30, rock des années soixante/soixante dix, musiques dites “du monde”, traditionnels médiévaux, variété française, musiques latino américaines…

Quel sens ont ces musiques ? Dans quelles conditions les jouons nous ? Nous avons fait le choix de tourner chaque spectacle dans deux configurations :
– Les lieux publics  : proximité, gratuité, accessibilité à tous, la rencontre et le débat possible avec le spectateur sont ici privilégiés. Médiathèques, bars, foyers de jeunes travailleurs, lieux associatifs…. Rencontres formelles ou informelles, moments d’échanges… Nous tâchons de ne pas limiter le temps des rencontres après les représentations. Car ces instants ont toujours beaucoup fait progresser notre travail.
– Les lieux de spectacles : théâtres, salles de concerts, scènes de festivals… A chaque fois nous tâchons de réunir les meilleures conditions possibles pour des spectacles exigeants et très différents dans leurs formes : travail du son, durée des balances, conditions d’éclairage, nous faisons le maximum auprès des structures d’accueil pour optimiser ce que la « boîte noire » d’une salle ou une scène de plein air peut apporter au public.

Les structures peuvent accueillir un ou plusieurs spectacles du cycle, et bien sûr la totalité des cinq propositions.