Habiter, habité.es
Habiter, habité.es est une réflexion embarquée sur l’habitat, les habitats humains et non humains, la notion d’être habité. Pour le dire vite, sur la tension entre ce que les êtres vivants produisent sur un territoire et ce que le territoire fait sur les êtres qui l’habitent.
Cette réflexion est issu d’un projet monumental, la création de la coopérative d’habitants UTOP à Paris intra-muros. Projet de longue haleine où il a fallu reprendre son souffle à plusieurs reprises. Ce projet est venu bousculé à plus d’un titre certains futurs habitants et membre de l’association les Êtres humains professionnels. Ce projet d’habitat traversent diverses sujets comme la capacité à agir, le droit à habiter, la lutte contre la spéculation, la solidarité, la mutualisation, l’écologie.
C’est tout naturellement que le sujet de l’habitat s’est invité au sein des Êtres humains professionnels. Il prend actuellement deux chemins qui se croisent : le festival des cabanes (création de cabanes et activités) en juin/juillet depuis 2021 et un film enquête sur l’habitat coopératif.
Au départ, des inspirations qui donneront d'autres inspirations et des actions
Une initiative qu’on trouve chouette :
l’Association pour un musée du logement populaire du Grand Paris
les animaux et leur habitat
Qu’est-ce qu’habiter un lieu ?
Quand devient-on un habitant ?
Que signifie l’habitat au regard du logement ?
La notion d’habiter, est-elle propre à l’être humain ?
Les gens sont “consommateurs” de leur logement
Il faut trouver des situations où la mémoire est sollicitée, et irremplaçable pour l’avenir.
L’idée de permanence, habiter de façon régulière ou récurrente dans un lieu où on construit un projet.
.. et je pense à un projet génial qu’on avait fait avec un auteur de théâtre en résidence à Villepinte. On avait réussi à rentrer une caravane dans une médiathèque, et l’auteur recevait les gens dans la caravane, pour des ateliers d’écriture. C’était hilarant et très productif!!
Les enfants des cités n’ont généralement pas leur mot à dire dans l’organisation de leur espace quotidien
Lire Heidegger, Ivan Illich, Thierry Paquot
Lire l’album jeunesse Ma maison de Astrid Desbordes et Pauline Martin